| |||||||||||||||||||||||||||||||
| |||||||||||||||||||||||||||||||
| |||||||||||||||||||||||||||||||
| |||||||||||||||||||||||||||||||
■ Polices de caractères | Polices de caractères ou fontes Le dessin des caractères La plus simple des classifications est basée sur la présence ou l’absence d’empattements, traits qui terminent les extrémités des lettres (ils sont souvent désignés par le terme anglais serifs). Les empattements créent une ligne imaginaire en bas et en haut des lettres. Cette ligne guide l’œil et facilite la reconnaissance des mots. Les caractères à empattements sont donc utilisés pour la composition des textes courants. Les caractères sans empattements – parfois intitulés bâtons, sans serifs ou sans – supportent des corps et des graisses importants, ce qui en fait des caractères de choix pour les titres et intertitres. La dimension des caractères La dimension des caractères est indiquée par le corps : hauteur totale d’un caractère imaginaire comportant une ascendante (comme « b, d ») et une descendante (comme « j, p »). Ces trois polices sont présentés dans le même corps : | ||||||||||||||||||||||||||||||
| |||||||||||||||||||||||||||||||
| |||||||||||||||||||||||||||||||
| |||||||||||||||||||||||||||||||
© Glyphe – V.2.1 mai 2008. Adapté du Petit Guide de typographie, Eric Martini Editions Glyphe, 2008 – www.editions-glyphe.com | |||||||||||||||||||||||||||||||